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Du 22 Septembre 2021 au 25 Septembre 2021

Musée du quai Branly-Jacques Chirac, salle de cinéma


Évenement organisé dans le cadre du projet Pour un partage des archives : le festival mondial des arts nègres, Dakar 1966.

Journées d'étude et cycle cinéma

 

 

En avril 1966, Dakar accueille le premier grand événement culturel organisé en Afrique après les Indépendances. À l’occasion d’un travail de recherche collectif avec le Sénégal et la Suisse sur le 1er festival mondial des arts nègres, mené dans le cadre du Labex Les passés dans le présent et coordonné par la médiathèque du musée du quai Branly - Jacques Chirac, un événement de 4 jours est consacré aux différents fonds audiovisuels liés au festival.

L'ensemble de l'événement est retransmis en direct sur la chaîne Youtube du musée et les films du cycle cinéma sont accessibles gratuitement, depuis la France et le Sénégal, sur FestivalScope du mercredi 22 au dimanche 26 septembre 2021.

La semaine événement est précédée d'une émission spéciale Néo Géo sur le festival mondial des arts nègres, diffusée dimanche 19 septembre de 9h à midi sur Radio Nova.

Lieu :  Salle de cinéma, Musée du quai Branly-Jacques Chirac

Entrée libre dans la limite des places disponibles (sans réservation)

 

Présentation du projet 

POUR UN PARTAGE DES ARCHIVES : LE 1ER FESTIVAL MONDIAL DES ARTS NÈGRES, DAKAR 1966 (FMAN)

Du 1er au 24 avril 1966, Dakar fut le théâtre d’un événement qui attira des milliers de spectatrices et spectateurs venus du monde entier : le 1er festival mondial des arts nègres. Sous le patronage de l’Unesco, cette vaste manifestation était organisée par l’État sénégalais et la Société africaine de culture, réseau international structuré autour de l’influente revue Présence africaine. L’objectif était ambitieux : le festival se voulait tout à la fois l’expression et le vecteur d’une société nouvelle aux prises avec les promesses des Indépendances africaines.

Les archives institutionnelles de ce premier grand festival culturel panafricain sont dispersées dans différentes institutions notamment en Europe et au Sénégal. L’enjeu de ce projet d’une durée de trois ans est de cartographier ces fonds, de les décrire (inventaires et instruments de recherche), de les numériser et de les rendre accessibles, dans la mesure du possible, via un portail scientifique commun qui renverra vers les fonds numérisés de chaque institution.

>>Carnet hypothèses du projet 

 

Programme 

Mercredi 22 septembre 2021
10h-18h

Les archives radiophoniques : nouvelles sources pour une histoire culturelle du continent africain 

 

L'ensemble de la journée est transmis en direct sur la chaîne Youtube du musée.

Lieu :  Salle de cinéma, Musée du quai Branly-Jacques Chirac

Entrée libre dans la limite des places disponibles. 

 

Le projet Pour un partage des archives : le 1er festival mondial des arts nègres, Dakar 1966 (labex Les passés dans le présent) a conduit un travail spécifique sur les archives radiophoniques du festival conservées par l'INA ; soit 60 heures de reportages, interviews, captations de spectacles, conférences et allocutions officielles issues du fonds OCORA. Ces sources, désormais recensées et décrites, sont accessibles pour des exploitations scientifiques ou professionnelles via l’INA. Elles permettent de retracer, au plus près de ses participant.es, la préparation du festival et son déroulement.
Cette journée d'étude élargit la focale aux archives radiophoniques comme nouvelles sources pour une histoire culturelle du continent africain. Elle croise les approches de la recherche scientifique, celles des institutions patrimoniales et celles du journalisme radio sur ce media dont l'étude est particulièrement dynamique dans les disciplines historiques. 

INTRODUCTION

10h Le labex Les passés dans le présent - Ghislaine Glasson Deschaumes, Cheffe de Projet
 

10h10 Introduction de la journée - Sarah Frioux-Salgas, responsable du projet Fman et des archives du musée du quai Branly - Jacques Chirac & Diane Turquety, chargée d'études documentaires projet Fman
 

HISTORIQUE DES FONDS LIÉS AU 1ER FESTIVAL MONDIAL DES ARTS NÈGRES

Modération : Odile Goerg, Université de Paris, CESSMA (Centre d'Étude en Sciences Sociales sur les Mondes Africains, Américains et Asiatiques) UMR 245.
 

10h30 OCORA : De la fabrication d'une émission à sa diffusion à travers l'exemple du programme "Femmes d'Afrique" - David Serrano, enseignant en histoire-géographie

L’Office de Coopération Radiophonique (OCORA) est un organisme français situé à Paris, créé en 1962 dans le contexte des indépendances et absorbé en 1969 par l’Office de radiodiffusion-télévision française (ORTF). L’OCORA collabore avec quatorze Etats africains ainsi que l’Etat malgache. Ses missions sont multiples : le développement des infrastructures, la formation du personnel, la création de programmes radiophoniques. Sur ce dernier point, nous porterons notre attention sur un programme sonore en particulier « Femmes d’Afrique ».
 

10h50 Le fonds OCORA à la radio publique française - Annie Lauzzana, documentaliste histoire des fonds radiophoniques de l'INA

La fabrique d'une archive : historique des chaînes et présentation matérielle du fonds.
 

11h15 Radio et télévision au Sénégal : des outils de construction nationale (1960-1973) - Awa I. N'Diaye, Université de Paris

Héritière directe de radio Inter-AOF (ex Radio-Dakar, fondée en 1939), Radio Sénégal est née en 1960 lors de l’indépendance du pays. Dès ses débuts, ce média d’État s’est vu confier trois principales missions : informer, éduquer et distraire – reprenant le fameux slogan de la BBC, devenu le symbole des médias de service public. La télévision, qui a fait ses premiers pas à l’occasion d’un Projet-Pilote mené par l’UNESCO en 1965, devait remplir les mêmes objectifs. Dans ce cadre-là, les émissions culturelles – chères au poète-président Léopold S. Senghor – tenaient une place notable dans la grille des programmes de ces deux médias. Cette communication se proposera de revenir sur l’histoire de Radio Sénégal et de la télévision en faisant l’état des lieux des sources qui mettent en lumière le rôle d’outils de construction nationale qui leur fut conféré. L’accent sera notamment mis sur les volets culturel et éducatif de la radio et de la télévision, également centraux dans le FMAN de 1966.
 

11h45-12h Pause
 

LA RADIO, OBJET D'ÉTUDE : UNE SOURCE CLÉ POUR LES SCIENCES SOCIALES - 1ÈRE PARTIE

Modération : Odile Goerg, Université de Paris, CESSMA (Centre d'Étude en Sciences Sociales sur les Mondes Africains, Américains et Asiatiques) UMR 245
 

12h Quelles sources pour comprendre la décolonisation des ondes sur le continent africain ? L'exemple de Radio-Sénégal et de Radio-Mali au temps de la Communaité (1958-1960) - Thomas Leyris, Professeur agrégé et doctorant contractuel à l'Université de Lille / IRHiS

La communication se proposera de montrer comment il a été possible d’accéder à une parcelle des sensations éprouvées par les auditeurs de Radio-Sénégal et de Radio-Mali pendant la période courte et mouvementée de la Communauté et en quoi cette étude permet de réviser en partie l’idée selon laquelle la radio n’a joué qu’un rôle négligeable dans la décolonisation de l’empire français d’Afrique.
 

12h20 Les pièces radiophoniques du concours théâtral interafricain - Céline Gahungu, Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3, théorie et histoire des arts et des littératures de la modernité (THALIM)

Créé par l’OCORA en 1967, le Concours théâtral interafricain, objet radiophonique et compétition dramaturgique, poursuit deux objectifs : surmonter les difficultés d’accès à l’édition et aux structures de représentation ; sur la demande des directeurs des radiodiffusions africaines, initier un programme tout à la fois culturel et attractif. Le concours devient, au gré de ses éditions, une instance de légitimation des dramaturges africains.
 

12h45-14h30 Déjeuner
 

LA RADIO, OBJET D'ÉTUDE : UNE SOURCE CLÉ POUR LES SCIENCES SOCIALES - 2ÈME PARTIE

Modération : Odile Goerg, Université de Paris, CESSMA (Centre d'Étude en Sciences Sociales sur les Mondes Africains, Américains et Asiatiques) UMR 245
 

14h30 "Ganni suugu", les chansons d'autrefois. Pratiques de collecte et de montage des chansons populaires à la Radio Rurale de Kayes (1988-1990) - Aissatou Mbodj-Pouye, anthropologue, chargée de recherche CNRS, Institut des mondes africains (IMAF), Campus Condorcet, Aubervilliers

En 1988 à Kayes, ville de l’ouest du Mali, une station de radio rurale en FM est autorisée à émettre, rompant le monopole étatique jusque-là strict sur les ondes. Des coopérants italiens ainsi qu’une équipe d’animateurs et de professionnels de la radio aux profils divers se retrouvent à mettre en place des programmes, à produire des contenus, et à sillonner la région pour collecter contes, récits de fondation de village et chansons. Dans cette présentation, je proposerai une réflexion sur les pratiques de collecte de chansons des animateurs de la radio. Cette perspective permettra de penser la question de l'archivage non pas simplement comme un après-coup de la pratique radiophonique, mais comme prolongeant des pratiques de sélection déjà à l’œuvre dans le travail de terrain, mené par des acteurs locaux selon leurs propres intérêts et critères esthétiques.
 

14h50 L'urbanité sonore entre l'Afrique du Sud et le Congo belge à l'ère de la radio - Charlotte Grabli, EHESS

Auditeurs, circulations musicales et imaginaires afro-atlantiques entre la cité de Léopoldville et Sophiatown de 1930 à 1960. Quels rapports entre musique et politique dans l’espace de circulations musicales ?
 

15h15-15h30 Pause
 

LES ARCHIVES RADIOPHONIQUES À LA RADIO : DES ÉMISSIONS JALONS

Modération : Odile Goerg, Université de Paris, CESSMA (Centre d'Étude en Sciences Sociales sur les Mondes Africains, Américains et Asiatiques) UMR 245
 

15h30 Mémoire d'un continent : un rapport multiple à l'archive - Jonathan Landrau-Welinski, archiviste (Pôle de conservation des archives des associations de jeunesse et d'éducation populaire - Pajep)

Depuis sa création en 1969, Mémoire d’un continent a expérimenté différentes façons de raconter et faire revivre le passé du continent africain à la radio. Cette intervention se propose de questionner le rapport que cette émission entretient avec la notion d’archives. Le corpus d’émissions représenté aujourd’hui par ce magazine diffusé sur RFI est inestimable pour la compréhension et l’incarnation de l’histoire africaine mais l’émission a été, au-delà, au cœur d’un rapport multiple et passionné aux archives en se référant à elles pour construire ses numéros, en procédant à l’envoi de reproductions de documents anciens aux journalistes africains, en questionnant les traces écrites et orales, matérielles et immatérielles de l’Histoire africaine, en constituant elle-même des archives orales pour les générations futures (série Les grands témoins de l'histoire contemporaine de l'Afrique) et, enfin, en y puisant et en les préservant pour contribuer à populariser et renouveler l’histoire africaine à l’aube du XXIe siècle.
 

15h50 Archives radiophoniques et journalisme d'histoire - Valérie Nivelon (journaliste et documentaliste, La marche du monde, RFI) et Ophélie Rillon (CNRS, Institut des mondes africains)

Valérie Nivelon et Ophélie Rillon ont collaboré à l’émission « Mali rail : archives et vinyles » sur l’histoire du chemin de fer Dakar-Niger et de ses archives au son du Super Rail Band, premier opus de la série « Les archives sonores du Mali ». Nous embarquons sur les traces du rail et de ses archives au son du Super Rail Band, l’un des plus grands groupes de musique malienne, né au buffet de la gare de Bamako en 1970. Alors que les trains sont à l’arrêt et que les salaires des cheminots ne sont plus versés, l’archiviste Moussa Traoré s’obstine à venir classer les documents qui racontent l’épopée ferroviaire de son pays, mais aussi l’histoire du Mali avec un grand H. Dans l’immense hangar où il travaille seul sans ordinateur, il transmet sa passion aux plus jeunes, et contribue à la formation d’une nouvelle génération d’enseignants et de chercheurs dans un pays en guerre.
 

LA PRÉSERVATION DES ARCHIVES SONORES AFRICAINES : QUEL RÔLE DES INSTITUTIONS PATRIMONIALES EUROPÉENNES ?

16h15 La préservation des archives sonores africaines : quel rôle des institutions patrimoniales européennes ? (intervention en anglais et en français)

Modération : Flora Losch, EHESS, Centre Alexandre-Kroyé, Hilário Lopes, directeur adjoint des affaires publiques et internationales et des archives, Radio Télévision Portugaise (RTP) et Brice Amouroux, responsable du pilotage des projets techniques (INA) - projet Dictabelts : Sauvegarde et restauration numériques des archives sonores du procès de Rivonia.

Regards croisés sur les archives sonores de l'Afrique coloniale et post-indépendances situées en Europe et en Afrique. Quels sont les fonds existants ? Comment sont-ils conservés et sauvegardés ? Quelles politiques de documentation et de valorisation sont mises en œuvre ? Quels partenariats internationaux passés, présents et futurs ?
 

CONCLUSION

17h15 Conclusion de la journée, Ndiouga Benga et Ibrahima Wane (Université Cheikh Anta Diop Dakar)

 

Jeudi 23 septembre 2021
9h30 - 17h30

Les archives cinématographiques 

 

Lieu :  Salle de cinéma, Musée du quai Branly-Jacques Chirac

Entrée libre dans la limite des places disponibles

 

Le projet Pour un partage des archives : le 1er festival mondial des arts nègres, Dakar 1966 (Labex Les passés dans le présent) est l'occasion de convier un panel d'historiens, de professionnels des archives, d'artistes à évoquer la place du cinéma à Dakar en 1966, les archives cinématographiques et les projets de réutilisations contemporaines de ces archives.
Une liste des 96 films programmés à l'occasion du Festival Mondial des Arts Nègres de Dakar en 1966 a été reconstituée grâce au dépouillement du journal Dakar matin. Le Labex est l'occasion d'amorcer un travail de documentation de ces films et une cartographie des copies afin de dresser un état des lieux. Ce travail permettra de présenter un panorama des productions et des courants qui traversaient alors les cinématographies africaines et afro-diasporiques. Il croise les approches de la critique et de la programmation, celles des institutions patrimoniales et des artistes contemporains.
Trois grandes thématiques se dégagent de cet ensemble de présentations.
La première partie est consacrée à l'analyse de la programmation cinématographique du FMAN et à la présentation des archives du Congrès de Gênes en 1965.
La deuxième partie est consacrée à la présentation de deux institutions patrimoniales actives dans les préservations des archives cinématographiques africaines : la Cinémathèque Afrique et la Direction du Cinéma sénégalaise.
La troisième partie est consacrée à la réactivation des archives que ce soit dans des projets de recherche et de collecte, de création contemporaine ou de programmation cinématographique.

 

JOURNÉE DE PRÉSENTATION DES ARCHIVES AUDIOVISUELLES

Matinée

9h30-9h45 : Introduction de la journée 

Sarah Frioux-Salgas, responsable du projet FMAN et des archives du musée du quai Branly – Jacques Chirac et Elodie Saget, responsable du fonds audiovisuel et sonore du musée du quai Branly – Jacques Chirac
 

9h45 -10h25 : La place du cinéma au Festival Mondial des Arts Nègres de Dakar en 1966 

Ababacar Diop, professeur des universités
 

10h25 – 11h05 : Le Congrès de Gênes : genèse d’une programmation cinématographique

Marco Lena, opérateur technique numérisation à la Direction de la Cinématographie du Sénégal
 

11h15-11h55 : La Collection de la Cinémathèque Afrique 

Emilie Boucheteil, directrice du département cinéma, Institut français
 

11h55-12h35 : La Direction du Cinéma du Sénégal : Le projet des archives audiovisuelles du Sénégal, Cité du cinéma

Germain Coly, Directeur de la Cinématographie du Sénégal (visioconférence), Fadel Thiam, Chef de la Division Administrative et juridique de la Direction de la Cinématographie du Sénégal, Tiziana Manfredi, vidéaste et chargée de projet numérisation à la Direction de la Cinématographie du Sénégal
 

Après-midi
 

14h30-15h10 : Panafest Archives : un projet de recherche transdisciplinaire

Dominique Malaquais, chargée de recherche au CNRS (Institut des mondes africains), Arghyro Paouri, Responsable de la Cellule audio/vidéo du Centre Edgar-Morin, équipe de l'iiAC
 

15h10-15h50 : Réactivation des archives du festival : l'installation vidéo "Latent Frames"

Tiziania Manfredi, vidéaste et chargée de projet numérisation à la Direction de la Cinématographie du Sénégal
 

16h-16h40 : TIGRITUDES / 1956-2021

Dyana Gaye, réalisatrice, Valérie Osouf, cinéaste
 

16h40-17h : Conclusion de la journée et annonce programmation cinéma

 

Projections en salle de cinéma 

du jeudi 23 au samedi 25 septembre 2021

Regards sur la sélection de Dakar 1966

 

Lieu :  Salle de cinéma, Musée du quai Branly-Jacques Chirac

Entrée libre dans la limite des places disponibles

 

5 séances, 10 films nous transportent à Dakar en 1966 

La programmation de ces 10 films choisis parmi les 96 titres identifiés dans la programmation de Dakar 1966 a été construite à partir d’un corpus de films.  

Ce corpus a été composé à partir d’un premier état des lieux des films pour lesquels des copies ont été localisées dans des cinémathèques, musées, archives, distributeurs partenaires du projet et pour lesquels les droits de projection publique étaient disponibles. Le choix s’est fait en cohérence avec le principe de ces ateliers parisiens : faire un état des lieux des sources et faire s’exprimer les partenaires composant l’équipe du Labex et qui participent à remplir ses objectifs de recherche et de documentation. 

Mais programmer c’est aussi composer un parcours, proposer une expérience au spectateur en produisant de la lisibilité. Programmer c’est laisser chaque raconter son histoire individuellement et les associer pour les faire résonner entre eux, créer du sens. Ce cycle propose des séances qui rapprochent des films qui n’étaient pas programmés ensemble au FMAN en 1966 mais qui, aujourd’hui, sont associés dans cette programmation pour rendre intelligible l’histoire de la création cinématographique, qu’elle soit ethnographique ou fictionnelle, dans les années 50 et 60, au moment où les indépendances se façonnent, se heurtent à la réalité post-coloniale, s’affirment : la fabrication du regard.

Les films du cycle cinéma sont accessibles gratuitement sur FestivalScope du mercredi 22 au dimanche 26 septembre 2021.

 

Jeudi 23 septembre 2021

19h30-22h - SÉANCE D'OUVERTURE (programme détaillé)

> Le Sénégal et le festival Mondial des Arts Nègres, Paulin Soumanou Vieyra

> Borom Sarret, Sembène Ousmane

> La Noire de…, Sembène Ousmane

 

Vendredi 24 sept. 2021

14h30-17h - REGARDS SUR LE CINÉMA ETHNOGRAPHIQUE 1/2 (séance détaillée)

> Les nomades du soleil, Henry Brandt

> Bataille sur le grand fleuve, Jean Rouch

17h15-19h - REGARDS SUR LE CINÉMA ETHNOGRAPHIQUE 2/2 (séance détaillée)

> La Goumbé des jeunes noceurs, Jean Rouch

> Lamb, la lutte sénégalaise, Paulin Soumanou Vieyra

 

Samedi 25 sept. 2021

14h30-16h - LE CINÉMA DE FICTION 1/2 (séance détaillée)

> N'Diogane, Paulin Soumanou Vieyra

> Sur les dunes de la solitude, Timoti Bassori

16h15-19h - LE CINÉMA DE FICTION 2/2 (séance détaillée)

> Atlantique, Mati Diop

 

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