Share

Actualités

Share
Déplier Replier
25.11.2019

Appel à projets de recherche 2019

Créé en 2012, le labex Les passés dans le présent / histoire, patrimoine, mémoire a obtenu en 2019 sa prolongation pour une durée de cinq ans, jusqu’en 2024.

Répondant à la logique intégrative du labex, le présent appel à projets vise à développer de manière structurante les thématiques de recherche proposées et à fédérer les équipes.

La dotation globale du présent appel à projets est de 1 250 000€.

La date limite de dépôt de dossier est le lundi 25 novembre 2019, à 12h00 (midi).

Plus d'informations dans l'article

Le labex Les passés dans le présent / histoire, patrimoine, mémoire est un programme de recherche collectif et international de long terme. Créé en 2012, il a obtenu en 2019 sa prolongation pour une durée de cinq ans, jusqu’en 2024. Son consortium allie l’Université Paris Nanterre, établissement coordinateur, l’Université Paris8, l’Université Paris Lumières, l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, le CNRS ainsi que cinq institutions culturelles nationales majeures.

Répondant à la logique intégrative du labex Les passés dans le présent, le présent appel à projets vise à développer de manière structurante les thématiques de recherche proposées et à fédérer les équipes.

La dotation globale du présent appel à projets est de 1 250 000€

Une attention particulière sera portée aux propositions qui tendent à l’interdisciplinarité, celles qui proposent une transversalité entre les métiers, entre les pratiques, celles qui développent une recherche transnationale allant au-delà du comparatif, ainsi que celles qui réfléchissent aux enjeux territoriaux locaux des problématiques. Il est également recommandé de veiller à l’objectif professionnalisant de l’implication des étudiants et jeunes chercheurs.

Priorités thématiques de l’appel à projets 2019 : 

  • Mémoire des milieux : traces, territoires, intraçables
  • Expériences du temps : altérités, dispositifs, mondes
  • Technologies de la mémoire : supports, ressources, données
  • Mémoires pour le futur ? Politiques, médiations, prospectives

La date limite de dépôt de dossier est le lundi 25 novembre 2019, à 12h00 (midi).

Retrouvez ci-joint l'intégralité du texte de l'appel à projets de recherche 2019 . 

 

Share
Déplier Replier
25.11.2019

Appel à projets de préfiguration 2019

Créé en 2012, le labex Les passés dans le présent / histoire, patrimoine, mémoire a obtenu en 2019 sa prolongation pour une durée de cinq ans, jusqu’en 2024.

Pour permettre l’exploration de nouvelles pistes de recherche, l’émergence de nouvelles idées ou de nouvelles coopérations, le lancement d’expérimentations, le labex Les passés dans le présent lance un appel à projets de préfiguration. Il s’agit de développer une pépinière de projets susceptibles, ultérieurement, de s’inscrire dans son programme scientifique.

La dotation globale du présent appel à projets est de 40 000€.

La date limite de dépôt de dossier est le lundi 25 novembre 2019, à 12h00 (midi).

Plus d'informations dans l'article

Le labex Les passés dans le présent / histoire, patrimoine, mémoire est un programme de recherche collectif et international de long terme. Créé en 2012, il a obtenu en 2019 sa prolongation pour une durée de cinq ans, jusqu’en 2024. Son consortium allie l’Université Paris Nanterre, établissement coordinateur, l’Université Paris8, l’Université Paris Lumières, l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, le CNRS ainsi que cinq institutions culturelles nationales majeures.
 
Pour permettre l’exploration de nouvelles pistes de recherche, l’émergence de nouvelles idées ou de nouvelles coopérations, le lancement d’expérimentations, le labex Les passés dans le présent lance un appel à projets de préfiguration. Il s’agit de développer une pépinière de projets susceptibles, ultérieurement, de s’inscrire dans son programme scientifique.
 
La dotation globale du présent appel à projets est de 40 000€.
 
Une attention particulière sera portée aux propositions qui tendent à l’interdisciplinarité, celles qui proposent une transversalité entre les métiers, entre les pratiques, celles qui développent une recherche transnationale allant au-delà du comparatif, ainsi que celles qui réfléchissent aux enjeux territoriaux locaux des problématiques. Il est également recommandé de veiller à l’objectif professionnalisant de l’implication des étudiants et jeunes chercheurs.
 
Priorités thématiques de l’appel à projets 2019 : 
 
  • Mémoire des milieux : traces, territoires, intraçables
  • Expériences du temps : altérités, dispositifs, mondes
  • Technologies de la mémoire : supports, ressources, données
  • Mémoires pour le futur ? Politiques, médiations, prospectives
 
La date limite de dépôt de dossier est le lundi 25 novembre 2019, à 12h00 (midi).

Retrouvez ci-joint l'intégralité du texte de l'appel à projets de préfiguration 2019 . 

 

 
Share
Déplier Replier
20.12.2019

Soutenance de thèse de Mme Aroua Ladibi : « ‘‘Un destin commun’’. La conquête arabe dans le récit national en Algérie, au Maroc et en Tunisie depuis les indépendances »

Cette thèse a été réalisée dans le cadre du labex Les passés dans le présent, sous la direction de Hervé Inglebert.

La soutenance aura lieu le vendredi 20 décembre 2019 à 14h, 29, rue d’Ulm, Salle Langevin (1er étage à gauche)

Le jury sera composé de :

Kmar Bendana, professeure d’histoire contemporaine, Université de la Manouba, Tunis
Karima Dirèche, directrice de recherche CNRS, Laboratoire TELEMMe, Aix-en-Provence
Mostafa Hassani Idrissi, professeur de didactique de l’histoire, Université Mohamed V, Rabat
Alain Messaoudi, maître de conférences en histoire contemporaine, Université de Nantes
Hervé Inglebert, professeur d’histoire romaine, Université Paris Nanterre

La soutenance est publique et sera suivie d’un pot auquel vous êtes chaleureusement convié.e.s.

Soutenance de thèse de Mme Aroua Ladibi :

« ‘‘Un destin commun’’. La conquête arabe dans le récit national en Algérie, au Maroc et en Tunisie depuis les indépendances »

 

Cette thèse a été réalisée dans le cadre du labex Les passés dans le présent, sous la direction de Hervé Inglebert.

 

La soutenance aura lieu le vendredi 20 décembre 2019 à 14h, 29, rue d’Ulm, Salle Langevin (1er étage à gauche)

 

Le jury sera composé de :

Kmar Bendana, professeure d’histoire contemporaine, Université de la Manouba, Tunis

Karima Dirèche, directrice de recherche CNRS, Laboratoire TELEMMe, Aix-en-Provence

Mostafa Hassani Idrissi, professeur de didactique de l’histoire, Université Mohamed V, Rabat

Alain Messaoudi, maître de conférences en histoire contemporaine, Université de Nantes

Hervé Inglebert, professeur d’histoire romaine, Université Paris Nanterre

 

La soutenance est publique et sera suivie d’un pot auquel vous êtes chaleureusement convié.e.s.

 

Résumé de la thèse :

Cette thèse interroge le lien entre récit historique et construction nationale en Algérie, au Maroc et en Tunisie depuis les indépendances, en partant des discours politiques, des programmes d’enseignement et des manuels d’histoire. Elle se focalise sur le traitement scolaire de la conquête arabe (VIIe s.) afin d’étudier de quelle manière celle-ci s’intègre dans le récit national. Ce choix se fonde sur le fait que la conquête correspond à un passé commun aux trois pays sur le plan chronologique et spatial. Dès lors, les traitements observés révèlent des différences nationales qui sont susceptibles de révéler à leur tour des constructions différenciées de la nation. La comparaison de ces pays vise moins à confirmer une supposée ressemblance qu’à chercher les différences, afin de cerner non seulement ce que les manuels d’histoire disent de la conquête, mais aussi ce qu’elle-même dit du récit national. Malgré les proximités entre les trois pays, l’analyse montre que leurs manuels respectifs n’adoptent pas des récits nationaux similaires. Dans chaque État, ces récits composent avec différents aspects de la conquête (histoire politique et histoire religieuse, arabité et islam, territoire et langue) afin de définir une identité nationale. En Algérie, la conquête est mobilisée pour valoriser l’appartenance à une communauté arabo-musulmane qui déborde le cadre national. Au Maroc, elle est éludée du récit national à mesure que l’islamité de la monarchie chérifienne est mise en avant. En Tunisie, elle apparaît comme une étape parmi d’autres d’une longue épopée ; elle contribue à magnifier le territoire national. À travers ces différents statuts de la conquête arabe dans chacun des récits nationaux, se dessinent trois conceptions de l’État-nation.